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JUST ANOTHER F*CKING LIFE
21 mars 2017

sounds of silence

   Le temps file, je ne vois pas les semaines passer! Ma vie professionnelle va toujours bien, tout se goupille et me convient parfaitement. Côté vie privée c'est toujours aussi "simple" avec des vrais morceaux de sarcasme dedans. 

   Ma relation avec Away semble s'être apaisée ces dernières semaines, je retrouve la sérénité que je nous connaissais dans nos bons jours. Cela me fait du bien, bien que cela ne mènera nulle part.

   Du côté de Traveller, une nouvelle date fût trouvée mais annulée à nouveau pour cas de force majeure. S'en suivirent 2 bonnes semaines de silence que je brisai au détour d'un message bateau. Depuis notre dernier échange hier soir, l'histoire me trotte en tête comme si mon cerveau avait enfin trouvé un autre assemblage cohérent des éléments pour former une autre réalité. Je pense avoir trouvé le fond de ma persévérance et de ma compréhension. Tant mieux car je sens que je vais devoir être forte pour passer outre cet homme. Je dois me faire aux évidences. Il ne veut pas de relation et est cohérent avec cela. Je cherche un partenaire principal et je suis également cohérente avec cela. S'il avait voulu me revoir, il m'aurait déjà recontacté et l'on se serait déjà revus! Cela me renvoie aux messages d'un pote sympa mais sans plus, à qui je réponds toujours poliment mais je sais pertinemment que je ne relancerai pas et ne ferai rien pour le revoir à moins qu'il insiste. Je me sens dans la position de la fille sympa mais sans plus, qui insiste gentiment. C'est moche, c'est même très moche ça. Je me sens aussi bête de m'être fait des films ainsi, à avoir voulu y croire.

   Gardons le positif: j'ai ressenti des papillons pendant un moment, ce qui ne m'était plus arrivé depuis bien longtemps. Et en même temps, il m'en aura fallu du temps pour comprendre que je cours après une chimère... Je viens de me déconnecter, le voir online une bonne partie de la soirée sans la moindre nouvelle me déplaît. Oui, s'il avait voulu me revoir, s'il avait  partagé mon effervescence pour cette rencontre, nulle doute que nous aurions déjà trouvé du temps pour nous revoir. 

   Ainsi la vie continue avec ma solitude comme meilleure ennemie. Je ressens de la tristesse, une émotion qui me traverse, que j'acceuille et que je laisse passer, et qui reviendra, je le sais.

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